Mutuelle santé : Swiss Life rembourse la méthode Weight Watchers.

Le groupe Swiss Life est le premier assureur à proposer une prise en charge de la méthode Weight Watchers. Alors que près d'un tiers des Français sont en surpoids, cette offre innovante mise en place mi-juin devrait séduire bon nombre d'assurés désireux de maigrir mais contraints pour des raisons budgétaires.

Méthode globale de perte de poids, Weight Watchers est reconnue mondialement par la communauté médicale. Le nombre croissant de personnes obèses et en surpoids soulève la question de l'efficacité des régimes minceur. La méthode Weight Watchers : réintroduire de bonnes habitudes alimentaires et un meilleur équilibre de vie pour une perte de poids saine et durable, une démarche qui a fait ses preuves, crédibilisée par l'engagement auprès des acteurs de la santé. La collaboration entre Swiss Life et Weight Watchers s'inscrit dans une volonté de prévention et d'accompagnement chère à l'assureur santé. Une synergie responsable pour répondre également au problème des maladies chroniques entraînées par le surpoids et l'obésité qui mettent une pression importante sur les ressources de santé.

Selon un sondage BVA commandé par les deux partenaires, deux tiers des personnes s'estimant en surpoids déclarent que le remboursement par leur complémentaire d'une méthode minceur les inciterait à se lancer dans une démarche. Le problème : le prix qui détermine pour 86% d'entre eux le choix d'une méthode de perte de poids. En associant leur force, Swiss Life et Weight Watchers réalisent une approche innovante pour répondre de manière optimale à la lutte contre le surpoids et l'obésité.
Concrètement, les assurés au contrat complémentaire santé "Ma Formule Swiss Life" peuvent bénéficier depuis mi-juin d'une prise en charge partielle de la méthode Weight Watchers à concurrence de leur forfait prévention (entre 50€ et 200€ par an selon le niveau de garanties), soit 50% de trois mois de la formule WW la plus complète (Pass Lib) ou de trois mois de la formule WW Online.



Audrey Benzaquen

Par , le vendredi 6 septembre 2013

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