>Assurance Emprunteur : la lutte du pot de terre contre le pot de fer continue.
Ou comment, malgré la loi Hamon, la souscription d’une assurance emprunteur déléguée reste toujours une épreuve face aux banques.
Malgré une succession de législations (loi Lagarde, promulgation de la loi bancaire, loi Hamon actuellement en 2ème lecture au Sénat) le rapport de force entre banques et assurances alternatives concernant l’assurance de prêt demeure toujours inégal. Cela fait plus d’une dizaine d’années que ce bras de fer se poursuit entre institutions financières et courtiers en délégation d'assurance de prêt pour tenter de libéraliser la concurrence et de nombreux blocages subsistent. Bien que les emprunteurs aient toujours intérêt à faire jouer la concurrence et à choisir un contrat dans un autre établissement que celui qui leur accorde le prêt, seulement 15 % d’entre eux le font. Or, la part de l’assurance crédit est en forte croissance depuis 5 ans, elle représente environ 25% du coût total d’un prêt immobilier. Une manne que les banques ne veulent pas laisser filer et celles-ci n'hésitent pas à faire du chantage aux délais ou à l'octroi de crédit pour dissuader les jeunes emprunteurs tentés de comparer les offres.
C’est pourquoi, L'UFC Que Choisir, BAO (Cabinet d’actuariat conseil spécialisé en assurance emprunteur) et Assurance Emprunteur Citoyen font front commun pour demander la mise en place d’une possibilité de résiliation annuelle, l'interdiction de la facturation de frais pour la substitution et la mise en place de sanctions en cas de non respect de la loi.
Face à la suprématie des banques, faut-il rester optimiste ? Pour Pierre Balsollier, du cabinet BAO « il restera toujours deux types d’emprunteur : celui qui intéressera la banque, grâce à son compte prospère, et qui pourra toujours négocier sa délégation d’assurance de prêt et l’emprunteur « fragile » qui devra nécessairement passer sous les fourches caudines de son responsable de clientèle. »
Rappelons que la différence tarifaire entre une offre alternative et une offre bancaire peut atteindre 30%.
Pour un couple âgé de 35 ans qui emprunte un montant de 150 000 Euros, sur une durée de 25 ans, cela peut représenter un gain moyen de 15 000 euros.
D’après l’étude d’UFC-Que Choisir, datée d’août 2013, « seule l’intervention des courtiers en crédit, disposant d’un pouvoir de négociation avec les banques, semble faciliter la souscription d’une assurance emprunteur déléguée »
C’est pourquoi, Magnolia Web Assurances a toujours joué un rôle de facilitateur, grâce à son comparateur en assurance Emprunteur, il est devenu le leader incontesté sur internet en assurance de prêt. Comme le rappelle Gérald Loobuyck, PDG de Magnolia Web Assurances « Nous serons toujours une force de proposition pour aider les emprunteurs à ne plus subir le diktat des banques. »
Le groupe Magnolia Web Assurances permet aux emprunteurs de comparer et de réaliser d’importantes économies. Il est, ainsi, devenu avec ses différents sites : Magnolia Web Assurances, Crédit Assurance, Assurance Emprunteur, le premier courtier grossiste multimarques en délégation d'assurance de prêt.