L'homéopathie, alternative aux médicaments classiques

L'homéopathie, alternative aux médicaments classiques

Les Français consomment trop de médicaments. En dehors des maladies chroniques graves et des cas d'urgence où la médecine allopathique est indispensable, il est possible de se soigner autrement, en l'absence totale de contre-indications, d'effets secondaires et même d'accoutumance. Dans quels cas l'homéopathie peut-elle remplacer les médicaments ?

Pour mémoire, l'homéopathie est une médecine douce qui soigne un trouble grâce au principe de similitude : une substance qui peut soigner un malade peut rendre malade celui qui est sain. En grec, homeo et pathos signifient respectivement similaire et souffrance. L'homéopathie soigne le mal par le mal en stimulant le potentiel immunitaire et d'autoguérison de l'organisme. Elle fonctionne par dilution de la substance (minérale, végétale, animale), sans adjonction d'aucune substance chimique et se caractérise par l'individualisation du traitement. En homéopathie, il n'y a pas de maladies, mais des malades.

L'homéopathie permet de soulager :
• les maux de l'hiver (mal de gorge, toux, nez bouché, rhume, laryngite, sinusite, bronchite, asthme)
• les troubles musculo-squelétiques (lombalgie, arthrose, articulations douloureuses)
• les troubles du sommeil et de l'humeur (permet d'éviter les effets secondaires très nocifs des psychotropes)
• le stress et les troubles nerveux.

L'homéopathie peut aussi stimuler la mémoire en jouant sur les troubles mineurs des fonctions mnésiques.

Si l'homéopathe est conventionné, la consultation est prise en charge à 30% par la Sécu et le traitement homéopathique au même taux. Les mutuelles interviennent pour compléter totalement ou partiellement le reste à charge.



Victoria Laroche

Par , le mercredi 11 mai 2016

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